Petite nouveauté insolite promise à un grand succès, la sauge ananas ou salvia elegans va faire parler d’elle cet été.
Cette plante arbustive vivace à la floraison automnale très généreuse d’un rouge écarlate pouvant atteindre jusqu’à 2m de haut dans des conditions de culture favorables est originaire du Mexique.
Outre ses propriétés médicinales qui ne sont plus à démontrer, on déguste aussi bien les fleurs que les feuilles dont leur goût prononcé de l’ananas est sans équivoque.
COMMENT CULTIVER VOTRE SAUGE ANANAS ?
Bien que vivace, la sauge ananas est peu rustique.
Dans les régions les plus chaudes de l’hexagone, on la cultive à l’année au jardin dans un emplacement bien ensoleillé et abrité du froid et des vents. Pendant la période hivernale de repos, une taille en automne et une voile d’hivernage lui conviendront parfaitement.
Pour les régions moins chaudes, on lui réserve un emplacement ensoleillé et une culture en pot afin de pouvoir la rentrer dans une pièce hors gel et lumineuse l’hiver.
Elle affectionne une terre humide et bien drainante, m’aimant pas les sols lourds.
Elle aura aussi besoin d’un terreau riche que vous devrez pour une bonne croissance amender avec un engrais maison et du compost.
COMMENT RÉCOLTER ET CONSERVER LA SAUGE ANANAS ?
On récolte les feuilles au fur et à mesure des besoins pour conserver le maximum de fraîcheur.
Il est aussi tout à fait possible de tailler une tige sur la hauteur, favorisant ainsi les ramifications.
Quant aux fleurs, elle se récoltent en fin saison de l’automne au début de l’hiver si vous la rentrez, vous pourrez en profiter encore plusieurs semaines.
Il est recommandé de conservez les fleurs et les feuilles au congélateur dans des bacs à glaçons plutôt que de les faire sécher car le résultat est décevant.
COMMENT UTILISER LA SAUGE ANANAS EN CUISINE ?
On l’utilise crue ou cuite selon vos envies.
Crue, on peut agrémenter une salade de fruit, des sorbets, ou encore des cocktails.
Dans sa version cuisiné, on le retrouvera dans des plats exotiques pour accompagner du poulet, du porc, du canard, du veau, ou tout autre plat pour un mélange salé-sucré.
Enfin, on peut l’utiliser en boisson comme sirop ou infusions.
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Cette plante tropicale s’est très vite frayée un chemin dans nos salons avec son allure entre le zèbre et l’éléphant nous plongeant cette fois-ci, non pas dans la jungle, mais plutôt dans la savane africaine.
Ses longues tiges zébrées plus ou moins claires en fonction de leurs maturités, et ses feuilles XXL aux formes d’oreilles d’éléphants lui valent d’ailleurs les surnoms de plante zèbre ou plante oreilles d’éléphants !
Alocasia zebrina
J’ai cette plante depuis 6 mois et c’est un véritable bonheur de l’observer grandir et produire de magnifiques tiges et feuilles. Elle imposante, majestueuse, originale, et sa croissance modérée fait d’elle une plante d’intérieur parfaite !
Originaires des forêts tropicales d’Asie, elle apprécie donc les espaces lumineux sans soleil direct ou quelques minutes seulement d’un soleil très léger du matin ou du soir, mais elle se plaira tout aussi bien dans un espace moins lumineux poussant à l’abri de grands arbres à l’état sauvage.
Ses racines sont des rhizomes ou tubercules et constituent une réserve d’eau pour la plante. Elle a donc besoin d’une terre légère et bien drainée pour plante d’intérieur et d’un arrosage régulier en quantité modérée.
Alocasia zebrina
Voici mes petites astuces de culture, d’entretien et de soins :
Je l’ai placé dans ma cuisine, une pièce plutôt humide et relativement éloignée de la fenêtre. Son emplacement actuel est plutôt tamisé, sans soleil et lumière directe.
Je l’arrose une fois tous les 15 jours avec de l’eau tiède à raison de 50cl, et j’attends que le terreau soit sec juste en surface pour arroser de nouveau. Son terreau doit être entre humide et légèrement sec en surface de manière constante. L’utilisation d’oya en terre cuite pour arroser ce type de plante est tout à fait adapté. Découvrez cette astuce d’arrosage écologique ici.
Pour assurer un bon développement bactérien, prévenir des mauvaises odeurs ou encore des maladies fongiques propices aux plantes tropicales, j’utilise du charbon de bois actif. Cet élément naturel que je mets directement dans la terre est une astuce très simple et d’une efficacité à toute épreuve. Vous pouvez utiliser aussi un simple morceau ce charbon de bois.
L’ajout d’engrais est conseillé en période de croissance d’Avril à Octobre pour lui apporter les nutriments nécessaires qu’elle puise et qu’il faut renouveler régulièrement.
Pour lui faciliter de le travail de photosynthèse, un nettoyage des feuilles tous les mois s’impose afin qu’elle capte le maximum de lumière surtout en période hivernale où les jours sont plus courts. Vous pouvez soit dépoussiérer avec délicatesse les feuilles à l’aide d’un linge humide, ou le cas échéant une petite douche tous les 15 jours lui sera tout aussi bénéfique.
Enfin, un tuteur pour maintenir les feuilles et réduire éventuellement le diamètre de la plante qui a tendance à « s’étaler » si on lui en laisse l’opportunité, peut être utilisé.
Alocasia zebrina
BOUTURAGE
3 possibilités s’offrent à vous :
Prélevez une tige double (c’est-à-dire avec 2 tiges minium maintenues ensemble à la base) si possible directement avec des racines et des rhizomes à l’occasion d’un rempotage par exemple et replantez en terre votre bouture déjà racinée.
Vous avez essayé mais zut, les racines ne sont pas venues ! Ce n’est pas grave, plongez votre bouture dans un vase avec de l’eau à température ambiante. Prenez soin d’elle en suivant ces quelques conseils et au bout de quelques semaines des racines relativement grosses et blanches vont apparaître. Dès que vous avez une dizaine de racines d’environ dix centimètres, replantez votre bouture en terre.
Dernière option, attendre patiemment la formation de rejet. C’est la solution la plus simple finalement ! Laissez la nature faire les choses.
Les rejets sont formés par les plantes lorsqu’il y a déséquilibre entre sa masse racinaire et sa masse aérienne. Donc finalement l’abstention de rempotage permet la formation de rejets. Prélevez délicatement le rejet avec ses racines et replantez en terre.
NB : Pour réaliser ces manipulations parfois délicates, je vous conseille de le faire lorsque la plante est plutôt sèche. Les racines se sépareront plus facilement et cela diminue les risques de les casser.
BON A SAVOIR
Enfin, sachez qu’une feuille qui jaunit est très souvent signe de nouvelles feuilles en formation, alors scrutez bien la base des tiges et si vous constatez des gonflements c’est sûrement une feuille qui se prépare.
Petite particularité et bizarrerie sur la photo ci-dessous que j’ai imputé à un manque d’eau. Cette feuille qui se retourne sur elle-même telle une virgule a repris finalement sa forme normale au bout de quelques jours.
Alocasia zebrina
Pour aller plus loin, découvrez en vidéo YT l’entretien, l’arrosage, le rempotage, l’exposition, les soins, les maladies et traitements naturels.
Crédits photos, vidéos et textes : OsezPlanterCaPousse
Vous êtes un peu lassé de la couleur “green” des plantes, passez au jaune fluo du Pothos néon !
Même si les alternatives des feuillages panachés, nervurés, des cultivars et autres “variegata” existent , aujourd’hui je vous présente une plante ultra-lumineuse de couleur jaune fluo qui porte très bien son nom.
De quoi réveiller voire enflammer votre décor végétal intérieur ! Surtout que cette plante liane d’origine tropicale donne d’emblée le ton de jungle urbaine à votre intérieur.
Pothos neon / Scindapsus aureum / Epipremnum
Appelée également lierre d’intérieur ou Scindapsus aureum ou encore Epipremnum, on l’a cultive donc en intérieur sous nos latitudes appréciant à la fois la chaleur et l’humidité.
Arborant de longues lianes, on l’utilise en suspension ou comme plante grimpante.
De culture facile et très résistante aux maladies, elle est idéale pour tous ceux qui n’ont pas la main verte !
Voici quelques conseils
Elle apprécie un sol bien drainé et un terreau pour plantes vertes traditionnel.
Une exposition en lumière vive sans soleil direct ou plus ombragée lui conviendra parfaitement poussant à l’ombre des grands arbres à l’état sauvage.
L’arrosage doit être modéré : laissez la motte séchée en surface avant tout nouvel arrosage, soit environ 1 à 2 fois tous les 15 jours quelques soit la saison.
Un engrais liquide pour plantes vertes en période de croissance de Mars à Octobre est conseillé afin de lui apporter les nutriments nécessaires. Le rempotage lui, se peut réaliser tous les 2-3 ans.
La taille des lianes peut être pratiquée afin de favoriser un port plus compact dès le printemps. C’est aussi une belle occasion de tenter le bouturage !
Développant des racines aériennes, elle se bouture très simplement en terre ou en eau. Découvrez ici comment réaliser vos boutures.
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Crédits photos et textes : Osez Planter Ca Pousse
Avec l’annonce des chaleurs estivales caniculaires de ces derniers jours, il est de bon ton de se tourner vers les plantes capables de résister à de telles températures.
Dotés de véritables réserves d’eau dans leurs tiges ou leurs feuilles charnues, les cactus et les succulentes offrent de sérieux atouts pour lutter et résister à la chaleur et à une sécheresse prolongée. D’ailleurs, elles font parties de ces rares espèces vivantes dotées de sensibilité capables de mettre à leur bénéfice une telle chaleur.
En réalité, elles sont même à leurs apogées en ces périodes d’air chaud et sec et font des croissances parfois fulgurantes.
Aujourd’hui, je mets donc à l’honneur une nouvelle variété de succulente à l’allure de cactus, l’Alluaudia ascendens.
Originaire des régions arides du sud de Madagascar où la plante pousse sur des sables alluvionnaires, cet arbre succulent vivace épineux à port dressé a un look pour le moins atypique.
Le tronc, presque blanc craquelé laisse apparaitre des nervures vertes et un motif marbré et développe de petites feuilles coniques d’un beau vert foncé régulièrement espacées et de nombreuses épines blanches.
Alluaudia
CULTURE, ENTRETIEN, SOIN, EXPOSITION
L’Alluaudia aime une exposition la plus ensoleillée possible et accepte une température minimum de 10°C. Vous pouvez donc la sortir pendant la belle saison en extérieure en l’acclimatation petit à petit aux rayons du soleil et la rentrer en intérieur l’hiver.
Optez pour une poterie terre cuite favorable aux échanges thermiques et découvrez ici pourquoi c’est important.
Détestant les excès d’eau, prévoyez un lit de billes d’argiles ou graviers en couche de 3cm minium pour favoriser le drainage et l’évacuation de l’eau d’arrosage.
Rempotez dans un mélange à proportion égale de terreau et de sable tous les 3 ans, au printemps.
Niveau arrosage, comme toutes les succulentes il est nécessaire d’attendre que le terreau soit bien sec en profondeur avant tout nouvel arrosage et de veiller au bon écoulement du surplus d’eau d’arrosage.
Pas de vaporisation sur la plante, détestant l’humidité, cela n’aurait qu’un effet néfaste sur elle.
Pas de taille à réaliser.
Alluaudia
MULTIPLICATION
La multiplication se fait soit par semis, soit par bouturage dès le printemps et jusqu’à la fin de l’été.
Prélevez un rameau sain d’environ 5 – 10 cm de long à l’aide d’un outil propre et aiguisé,
Vaporisez de l’eau sur les 2 parties sectionnées afin de stopper l’écoulement de la sève,
Laissez sécher la bouture à l’air libre pendant 3 jours jusqu’à la formation d’un cal de cicatrisation. Cela favorisera le développement des racines et évitera l’apparition de maladies,
Rempotez dans un mélange de terre comme décrit ci-dessus,
Humidifiez (attention ce n’est pas arroser !) en brumisant la terre quelques jours après seulement, puis régulièrement toutes les semaines jusqu’à ce que la bouture prenne.
Placez votre bouture à l’abri du soleil direct et des courants d’air jusqu’à l’apparition des racines sous 4 semaines environ. Pour savoir si votre bouture a bien prise, exercez une légère pression en tirant délicatement. Si une résistance s’oppose, les racines ont bien pris !
LE SAVIEZ-VOUS ?
Le bois de l’Alluaudia est utilisé dans la construction et le charbon de bois à Madagascar.
Le nom du genre botanique Alluaudia est dédié à l’explorateur français Charles Alluaud (1861-1949)
Alluaudia
Crédits photos et textes : OsezPlanterCaPousse
Remerciements : Les Serres du Lycée horticole de Lyon-Dardilly
Vous avez envie d’une jungle urbaine luxuriante, d’élargir votre collection de plantes, mais vous ne pouvez malheureusement pas vous offrir toutes celles dont vous rêvez.
Découvrez dans cet article comment cultiver des plantes vertes, fleuries, plantes aromatiques, arbustes même des arbres fruitiers sans dépenser 1€.
Tout est à portée de main et tout est possible ! Encore faut-il connaître les ficelles pour se constituer rapidement une véritable collection digne de ce nom.
Quelques notions de base sont nécessaires pour savoir où et comment faire et à minima il vous faudra tenter l’expérience !
UN PEU D’OBSERVATION ET DE BIOLOGIE
La nature était présente sur terre bien avant l’arrivée de l’homme et elle ne nous a pas attendu pour se reproduire. Tout être vivant de la faune se reproduit naturellement.
À un âge mature, la plus part des plantes produit au printemps des fleurs qui se transforment en fruits pendant la belle saison après pollinisation.
Lesquels, arrivés à maturité fin d’été, vont tomber au sol, se désagréger naturellement en automne en se séparant de la pulpe pour ne laisser rien d’autre que les futures graines, gage d’une nouvelle vie végétale en devenir.
Ainsi, vous l’aurez compris, les graines se trouvent au cœur de chaque fleur ou fruit arrivés à maturité.
Ces mêmes graines subiront naturellement une période de froid pendant l’hiver nécessaire à leurs germinations.
Voilà comment les choses se passent à l’état sauvage. C’est le cycle naturel de reproduction des végétaux ! Garder bien cela en tête, car il faudra parfois tenter de reproduire ces conditions.
RENTRONS DANS LE VIF DU SUJET
A peu près tout ce que vous croisez sur votre chemin peut potentiellement être bouturer et cultiver.
Profitez d’une balade dans les bois pour faire quelques cueillettes. Muni de votre sécateur, vous avez sous vous yeux à votre disposition toute une multitude de graines et végétaux qui se bouturent ou se cultivent très facilement.
Vous pouvez prélevez plusieurs variétés tels que le lierre, la mousse, des glands de chênes ou de marrons déjà germés ou à faire germer, des herbes aromatiques sauvages telles que la menthe, le romarin, ou encore de la lavande sauvage.
Jeune chêne obtenu à partir d’un gland
Dans votre cuisine, vous avez à disposition les graines des fruits et légumes que vous consommez. Vous pouvez récupérer les graines de tomates, aubergines, courgettes… Pour cela, il vous suffit de bien retirer la pulpe des graines, de les faire sécher à l’air libre quelques jours, et de les soumettre au froid quelques temps (soit au frigo, soit en extérieur de façon naturelle) afin qu’elles puissent germer au printemps suivant.
Vous pouvez procéder de même et conserver aussi les noyaux d’avocat, d’abricot, de pêche et mêmes les pépins de citron par exemple.
J’ai personnellement déjà fait germer des graines de palmiers, des noyaux de pêcher et des pépins de citron. Actuellement, je laisse grandir les arbres fruitiers en attendant de les greffer afin d’obtenir des fruits (futur article sur le greffon à venir).
Pensez bien que toutes les graines, maintenant vous savez où les chercher, et comment les faire germer, peuvent vous fournir une nouvelle plante, voire même des légumes ou des fruits.
APPRENEZ A RÉALISER VOS PROPRES BOUTURES
Le bouturage est une des manières simple de multiplier les végétaux. Cette technique consiste à prélever un bout d’une plante dans le but d’en obtenir une seconde qui aura les mêmes caractéristiques que la plante mère, puisqu’elle ne provient pas d’une reproduction naturellement pollinisée.
Pour optimiser vos chances de réussite, il convient de bouturer au printemps. C’est la période de reprise des végétaux, idéale pour les mises en boutures.
Le principe est le suivant : pour raciner, la bouture prélevée sur le plant mère doit être saine, mature et sans fleur !
Ainsi, la réussite de vos boutures réside donc presque uniquement dans le fait de savoir faire de bons prélèvements.
Les boutures de plantes vertes ou plantes fleuries à prélever sont essentiellement des tiges non fleuries, (j’insiste une bouture de tiges fleurie ne prendra pas) avec du bois ou non selon les variétés. Les boutures racineront soit en eau, soit directement plantées en terre selon les variétés.
Voici quelques exemples de bouture de plante verte :
Le Pothos, le lierre, le tradescantia par exemple sont des plantes qui se bouturent très simplement. Coupez une branche sous un nœud et laisser raciner dans l’eau pendant environ 1 mois. Puis replantez dès que vous avez 5-6 belles racines de 5 -10 cm. Pour plus de détails, consulter l’article sur le Pothos.
Pothos raciné
Un autre exemple de bouture de plante fleurie réalisée à partir d’une feuille avec ce magnifique Bégonia Bertinii :
Feuille de Bégonia racinée
Plante mère
Ou encore avec un Pilea :
Feuille de Pilea racinée
Pour les plantes succulentes, on bouture à partir de tiges mais également à partir de feuilles uniquement.
Déposez des feuilles saines prélevées sur la plante mère sur une terre légère. Placer les boutures dans un environnement lumineux à l’abri des courants d’air, à température ambiante. N’arrosez pas au risque de faire pourrir les feuilles ! En quelques semaines, des racines ou nouvelles feuilles apparaitront sur l’extrémité, là où la feuille a été sectionné.
Feuilles de succulente racinées
Découvrez en image dans ces 2 vidéos comment bouturer des tiges et des feuilles de succulentes.
Découvrez aussi comment bouturer une incontournable plante aromatique, la menthe :
MULTIPLIEZ VOS PLANTES PAR DIVISION
La division de la motte est aussi une solution pour augmenter votre collection.
Découvrez comment diviser un plant dans cette vidéo et comment bouturer une plante grasse directement en terre avec le Sansevieria.
PENSEZ A PRÉLEVER DES SPÉCIMENS CHEZ VOS AMIS
Je ne connais pas un ami sympa qui refuserait que vous partiez avec une petite bouture de la plante qui vous a tapé dans l’œil, en échange de laquelle vous pourriez lui en proposer une de votre propre collection :-).
CONNAISSEZ-VOUS LES AUTRES ALTERNATIVES ?
Échangez pour mieux consommer et troquez vos plantes ou vos boutures entre amis physiques ou virtuels.
Sur Facebook il existe une communauté d’environ 6 000 membres et 2000 followers qui s’appelle “Troque ta plante”. Le principe est simple et gratuit ! Vous échangez soit par envois postaux, soit par remise en main propre des graines, des plantes ou des boutures. Plus de 20 grandes villes françaises ont déjà leur groupe Troque Ta Plante, de quoi vous permettre de constituer votre collection pour 0€ ou le prix d’un timbre. Pour plus d’infos, rendez-vous sur la page Facebook de Troque Ta Plante ou sur leur Instagram.
Enfin, une seconde alternative à moindre coût est possible. Il existe des jardins éphémères organisés en plein centre ville dans toute la France qui proposent un très large choix de plantes à prix tout doux 2€, 5€, 10€. Pour avoir testé, le rapport qualité prix est plus qu’excellent. Pour plus d’infos, rendez-vous sur la page Facebook de Maison Bouture ou sur leur Instagram.
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Crédits photos textes et vidéos : OsezPlanterCaPousse®
Les bonsaïs, tout un art à part entière qui nécessite des conseils avisés.
Découvrez en image comment réaliser une taille de bonsaï pour conserver une forme minimaliste et réaliste d’un arbre nain cultivé en pot avec toutes les étapes, le matériel nécessaire et les pièges à éviter.
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Vous ne disposez plus assez de place au sol pour vos plantes d’intérieur, pensez aux suspensions !
Découvrez comment réaliser une suspension DIY en macramé pour mettre en valeur vos plantes avec les astuces d’OsezPlanterCaPousse.
Très simple à réaliser, laissez-vous tenter, vous adorerez le résultat !
Matériels nécessaires :
– 8 cordes en coton d’environ 1 mètre de long chacune. Soyez vigilants à la résistance de la corde. Si elle résiste à 1kg, la résistance totale est donc de 1kg x 8 cordes, soit 8kg.
– une paire de ciseau pour sectionner les cordes
– une plante plutôt à port retombant
A vous de jouer ! Nouez, accrochez et profitez !
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Crédit vidéo : OsezPlanterCaPousse
Crédit musique : Sleepness Night
Vous souhaitez apporter une vraie touche d’originalité et encore plus de naturel à vos plantes, découvrez les astuces pour réaliser une composition dans une souche d’arbre…
Après les réalisations dans des coupes plus ou moins profondes façon terrarium, ici, j’ai le plaisir de mettre à l’honneur le côté ultra naturel du support et au final de la composition dans sa globalité.
La souche de bois apporte sans contestation une touche d’originalité et d’authenticité.
Quelles soient de moitiés, entières ou encore en morceaux, elles nous rappellent immédiatement nos forêts et accentuent le côté végétal de l’objet.
Soyez créatifs, n’hésitez pas à réaliser vos propres décorations de plantes et osez planter ça pousse 😉.
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Crédit photos textes et vidéo : OsezPlanterCaPousse®
Vous en avez assez des formes standards de vos plantes et, vous aimeriez leur créer un vrai look design ?
Toutes les plantes n’ont pas, par essence, un style qui sort du commun. Alors, n’hésitez pas à le faire vous-même ! C’est extrêmement simple.
Sachez que vous pouvez tuteurer à peu près n’importe quelles plantes pour vous créer un plant atypique, singulier et original.
Pour cela, il faut :
un câble avec un fil de fer et une gaine plastique. Cette graine permettra de protéger les tiges de votre plant,
enrouler le câble en partant du haut de la tige jusqu’en bas de celle-ci,
accrocher le câble sur la partie basse de la plante ou même enfoncez-le dans la terre du plant (voir photos).
conserver de l’excédent de câble pour la croissance de la plante.
Portez une attention particulière sur la délicatesse de la manipulation du tuteurage qui peut en effet casser quelques feuilles.
Vous pouvez également vous reportez à la vidéo mise en ligne dernièrement qui explique comment tuteurer un bonsaï Ficus Ginseng, en cliquant ici.
Enfin, il faudra retirer en temps opportun le câble tuteur avant que celui-ci ne marque la tige irrémédiablement. Cette action est à faire dès que la branche tuteurée est capable de se tenir seule, sans l’aide de celui-ci.
Le reportage photo présente ci-dessous deux boutures de lauriers rose réalisées respectivement il y a 4 et 1 an.
Elles ont été ensuite travaillées avec des tuteurs pour leur créer un look original. L’une avec un tronc tressé, l’autre avec une séparation franche entre les deux tiges à la base du plant en vue de réaliser un troncrectangle (à venir).
Alors n’hésitez plus, maintenant que vous êtes en possession de toutes les astuces nécessaires, créez-vous des plantes ultra- lookées ; le tout en DIYDoItYourself s’il vous plaît.