Optez pour une décoration végétale intérieure inédite et un aménagement design et vertical avec les murs végétaux d’intérieur by OsezPlanterCaPousse.
À fixer aux murs en disposition horizontale ou verticale vous libérant de la place au sol ou tout simplement à poser, les murs végétaux sont composés de vraies plantes naturelles et c’est qui fait toute la différence !
Les plantes, Pothos dites plantes lianes, sont d’abord en façade puis avec la croissance poussent le long du casier, s’enracinent de manière naturelle sur le dessus puis les côtés pour enfin venir s’échouer en cascade vers le bas.
Un véritable plaisir d’observer les nouvelles pousses en devenir, une évolution quasi permanente telle une oeuvre d’art vivante à contempler au quotidien !
A arroser une fois par semaine environ sur le dessus ou en façade, les murs ne fuient pas. Le substrat est une mousse végétale naturelle au pouvoir d’absorption et de rétention inégalé. La mousse doit rester fraiche et humide et de couleur marron foncée. Lorsque vous touchez le casier, vous devez clairement sentir l’humidité.
Une fois arrosé le mur Small pèse environ 1,5 à 2 kg, le mur Medium 3 à 4 kg et le mur Large entre 5 à 7kg. Le poids des murs est un bon indicateur pour estimer les besoins en arrosage. En cas de doute, fiez-vous à cela.
En cas d’absence prolongée, de fortes canicules en été, augmentez l’arrosage.
Enfin en cas d’oubli d’arrosage, la mousse se déshydrate et se rétracte. Il faut donc prendre le temps de ré-arroser doucement petit à petit afin qu’elle retrouve ses capacités de rétention.
Focus en vidéo ci-dessous sur leurs croissances, évolutions, arrosages, (activez le son) ainsi que quelques configurations d’installation chez des clients heureux.
3 murs Small pour une entrée végétale Avec la croissance, les végétaux vont se rejoindre et raciner sur les casiers voisinsModèle L en mural et S en centre de table
On ne peut plus simple, faire pousser un avocatier à partir d’un noyau est vraiment à la portée de tous, à condition de respecter quelques consignes.
Comment faire germer le noyau ? A quelle période ? Quand faut-il le planter en terre ? Quelle exposition ?
Voici en détails les étapes pour faire pousser un avocat à partir d’un délicieux fruit, dont vous aurez validé les saveurs gustatives à l’occasion d’une dégustation au préalable, ainsi que les erreurs à éviter.
Alors, on tente l’avocatier en 2020 ?
COMMENT FAIRE GERMER LE NOYAU D’AVOCAT ?
Seulement 5 étapes puis de la patience….
1. Prélevez délicatement le noyau d’un avocat bien mûr en prenant soin de ne pas endommager sa membrane. Si c’est le cas, il y survivra… pas d’inquiétude.
2. Rincez-le à l’eau claire.
3. Piquez le noyau à l’aide de cure-dents sur le premier tiers, la pointe du noyau devant être en haut. En forme de croix, façon 4 points cardinaux, ils ont pour objectif de maintenir une partie du noyau hors de l’eau. N’ayez crainte, enfoncez les cure-dents correctement pour qu’ils tiennent suffisamment. S’ils tombent, il faut les remplacer au même endroit.
4. Mettez le noyau dans un verre rempli d’eau à température ambiante. Il doit donc être aux 2/3 immergé et 1/3 à la surface, la pointe du noyau étant en haut.
A noter que la partie émergée est plus claire et plus sèche photo2, que la partie immergée de la photo 3 qui montre le noyau retourné et le germe au milieu.
Noyau d’avocat
Noyau d’avocat germé
5. Changez l’eau environ tous les 15 jours, toujours de l’eau à température ambiante pour éviter les chocs thermiques.
Selon les périodes, les racines apparaissent plus ou moins vite entre 4 à 10 semaines. D’abord une première racine centrale principale sépare le noyau en deux, tout en le maintenant, puis ensuite se développent des racines secondaires plus fines.
Les tiges et le feuillage interviennent dans un second temps, après l’apparition du premier germe racinaire.
Noyau d’avocat germé
Jeune pousse d’avocat
Vous pouvez faire germer un noyau d’avocat quelque que soit la saison dans l’année, bien qu’au printemps et en été l’opération est plus rapide.
EXPOSITION ET ENTRETIEN
Pour faire germer le noyau, il est préférable de le conserver en intérieur dans un endroit lumineux, à l’abri des courants d’air et du soleil direct.
Dès que le noyau a raciné et qu’une tige est en formation, modifiez l’exposition pour un lieu plus ensoleillé, derrière une baie vitrée au sud par exemple.
Après des racines d’environ 10 cm, vous pouvez le planter. En pleine terre, ou en pot avec une bonne exposition au soleil, l’avocatier a une préférence pour les sols neutres, fertiles, et plutôt humides.
Il est essentiel de faire une taille tous les ans au printemps pour favoriser les ramifications, la formation de bois et “construire” une structure homogène de l’arbre, surtout les premières années. N’ayez crainte, vous serez surpris des repousses après taille.
ERREURS A ÉVITER
Oublier de remplir le verre d’eau. Le noyau doit toujours être en contact direct avec l’eau et de surcroît quand le germe est sorti.
S’impatienter trop vite et finalement jeter l’éponge. Soyez patients !
Sur le même thème, découvrez comment faire pousser un citronnier , un ananas ou encore un pêcher ?
Cette plante tropicale s’est très vite frayée un chemin dans nos salons avec son allure entre le zèbre et l’éléphant nous plongeant cette fois-ci, non pas dans la jungle, mais plutôt dans la savane africaine.
Ses longues tiges zébrées plus ou moins claires en fonction de leurs maturités, et ses feuilles XXL aux formes d’oreilles d’éléphants lui valent d’ailleurs les surnoms de plante zèbre ou plante oreilles d’éléphants !
Alocasia zebrina
J’ai cette plante depuis 6 mois et c’est un véritable bonheur de l’observer grandir et produire de magnifiques tiges et feuilles. Elle imposante, majestueuse, originale, et sa croissance modérée fait d’elle une plante d’intérieur parfaite !
Originaires des forêts tropicales d’Asie, elle apprécie donc les espaces lumineux sans soleil direct ou quelques minutes seulement d’un soleil très léger du matin ou du soir, mais elle se plaira tout aussi bien dans un espace moins lumineux poussant à l’abri de grands arbres à l’état sauvage.
Ses racines sont des rhizomes ou tubercules et constituent une réserve d’eau pour la plante. Elle a donc besoin d’une terre légère et bien drainée pour plante d’intérieur et d’un arrosage régulier en quantité modérée.
Alocasia zebrina
Voici mes petites astuces de culture, d’entretien et de soins :
Je l’ai placé dans ma cuisine, une pièce plutôt humide et relativement éloignée de la fenêtre. Son emplacement actuel est plutôt tamisé, sans soleil et lumière directe.
Je l’arrose une fois tous les 15 jours avec de l’eau tiède à raison de 50cl, et j’attends que le terreau soit sec juste en surface pour arroser de nouveau. Son terreau doit être entre humide et légèrement sec en surface de manière constante. L’utilisation d’oya en terre cuite pour arroser ce type de plante est tout à fait adapté. Découvrez cette astuce d’arrosage écologique ici.
Pour assurer un bon développement bactérien, prévenir des mauvaises odeurs ou encore des maladies fongiques propices aux plantes tropicales, j’utilise du charbon de bois actif. Cet élément naturel que je mets directement dans la terre est une astuce très simple et d’une efficacité à toute épreuve. Vous pouvez utiliser aussi un simple morceau ce charbon de bois.
L’ajout d’engrais est conseillé en période de croissance d’Avril à Octobre pour lui apporter les nutriments nécessaires qu’elle puise et qu’il faut renouveler régulièrement.
Pour lui faciliter de le travail de photosynthèse, un nettoyage des feuilles tous les mois s’impose afin qu’elle capte le maximum de lumière surtout en période hivernale où les jours sont plus courts. Vous pouvez soit dépoussiérer avec délicatesse les feuilles à l’aide d’un linge humide, ou le cas échéant une petite douche tous les 15 jours lui sera tout aussi bénéfique.
Enfin, un tuteur pour maintenir les feuilles et réduire éventuellement le diamètre de la plante qui a tendance à « s’étaler » si on lui en laisse l’opportunité, peut être utilisé.
Alocasia zebrina
BOUTURAGE
3 possibilités s’offrent à vous :
Prélevez une tige double (c’est-à-dire avec 2 tiges minium maintenues ensemble à la base) si possible directement avec des racines et des rhizomes à l’occasion d’un rempotage par exemple et replantez en terre votre bouture déjà racinée.
Vous avez essayé mais zut, les racines ne sont pas venues ! Ce n’est pas grave, plongez votre bouture dans un vase avec de l’eau à température ambiante. Prenez soin d’elle en suivant ces quelques conseils et au bout de quelques semaines des racines relativement grosses et blanches vont apparaître. Dès que vous avez une dizaine de racines d’environ dix centimètres, replantez votre bouture en terre.
Dernière option, attendre patiemment la formation de rejet. C’est la solution la plus simple finalement ! Laissez la nature faire les choses.
Les rejets sont formés par les plantes lorsqu’il y a déséquilibre entre sa masse racinaire et sa masse aérienne. Donc finalement l’abstention de rempotage permet la formation de rejets. Prélevez délicatement le rejet avec ses racines et replantez en terre.
NB : Pour réaliser ces manipulations parfois délicates, je vous conseille de le faire lorsque la plante est plutôt sèche. Les racines se sépareront plus facilement et cela diminue les risques de les casser.
BON A SAVOIR
Enfin, sachez qu’une feuille qui jaunit est très souvent signe de nouvelles feuilles en formation, alors scrutez bien la base des tiges et si vous constatez des gonflements c’est sûrement une feuille qui se prépare.
Petite particularité et bizarrerie sur la photo ci-dessous que j’ai imputé à un manque d’eau. Cette feuille qui se retourne sur elle-même telle une virgule a repris finalement sa forme normale au bout de quelques jours.
Alocasia zebrina
Pour aller plus loin, découvrez en vidéo YT l’entretien, l’arrosage, le rempotage, l’exposition, les soins, les maladies et traitements naturels.
Crédits photos, vidéos et textes : OsezPlanterCaPousse
A quoi reconnaît-on un accro aux plantes ? Qu’est-ce qui caractérise un addict du “greenhome”, de jungle urbaine ou encore du jardin ? Vous vous imaginez peut-être ne pas faire parti de ces personnes, et vous vous demandez si vous en un … ou encore vous savez déjà, au plus profond de vous, que vous en faites parti, et bien dans tous les cas, cet article devrait vous parler.
Alors, on est plant addict quand ?
On ne peut pas s’empêcher de faire son petit tour matinal quotidien à la première gorgée de café chaud, histoire de faire une petite inspection rapide de notre petite jungle et parfois avoir le plaisir de découvrir une nouveauté comme une nouvelle pousse, un bouton, un rejet…
On observe en permanence les végétaux où que l’on soit quoi que l’on fasse : chez des amis, au restaurant, en voyage, en balade, dans un film …
On s’inquiète pour nos plantes pendant nos absences prolongées des vacances. Auront-elles assez d’eau ou de lumière ? Ne vont-elles pas trop en souffrir ?
On les confie chez des amis pendant nos vacances pour les mêmes raisons que précédemment.
On leur parle ou qu’on donne des petits noms à chacun des membres de la tribu.
On se précipite de récupérer l’eau de pluie à la moindre averse. On sait tous ô combien elle est meilleure que l’eau calcaire de nos robinets.
On n’en a jamais assez et qu’on craque systématiquement dès qu’on en voit une qui nous plaît, qu’on ne peut pas s’empêcher de l’acheter même si on s’est promis de rester sage et de ne pas ramener pas de nouvelle plante à la maison faute de place évidemment.
On s’amuse à bouturer c’est déjà un signe avant coureur de la plantaddictattitude !
On se surprend à faire de prélèvements de bouture chez nos amis.
Vos amis vous donnent des plantes mal-en-point et comptent sur vous pour leurs redonner du tonus.
On a une sensibilité particulière avec les plantes, un échange particulier, une réciprocité. Les plant-addict les plus mordus me comprendront. Le bien être, l’apaisement, la sérénité, le retour au temps, au temps végétal quand on observe le temps qu’il leur faut pour former une fleur, une feuille. Ce sont tant de sensations incommensurablement savoureuses. D’ailleurs, Claude Bernard disait : “Les plantes possèdent comme les animaux, au degré et à la forme près, la sensibilité, cet attribut essentiel de la vie”
Alors, si vous vous reconnaissez en certains de ces critères vous êtes probablement un plant addict ! A chacun son degré 😉 !
Respectons la nature et soyons humble devant tant de beautés naturelles bienfaitrices.
Créer son engrais et un traitement contre les parasites naturels pour soigner nos amies les plantes, c’est green, écolo, facile, efficace et éco-citoyen ! Alors on ne vas pas s’en priver ; bien au contraire on prône ces solutions naturelles.
Après l’article réalisé sur les 5 engrais naturels que vous avez forcément chez vous dans les placards de votre cuisine, que vous pouvez consulter en cliquant ici, il est opportun de voir quelles sont les autres solutions naturelles que mère nature met à notre disposition.
Très simple à réaliser, le purin d’ortie est donc un engrais et un anti-parasite très puissant et efficace. Découvrez comment réaliser vous même ce petit produit miracle qui va s’avérer un allié de taille pour vous aider à avoir de magnifiques plantes et dont vous ne saurez plus vous passer.
OU TROUVER L’ORTIE ?
Avant tout, il faut trouver l’ortie dans la nature. Elle se plait dans un milieu plutôt humide et ombragé. Vous en trouverez plus facilement en forêt à l’ombre de grands arbres ou proche d’une source d’eau (ruisseau, rivière). Une fois que vous avez repéré un plant, prélevez des tiges entières à l’aide d’un sécateur et d’une paire de gant compte tenu du caractère urticant de l’ortie. Faites également attention à vous protéger les bras et avant-bras.
Gardez bien en tête l’emplacement, vous pourrez par la suite en ramasser autant de fois que nécessaire car l’ortie est une plante vivace qui ressort chaque année.
FAIRE LE PURIN, LES ÉTAPES
1/ Coupez des morceaux de branches pour obtenir des tronçons d’une 20 de cm de longueur.
2/ Faites sécher les tronçons, tiges et feuilles, au soleil ou à l’air libre sur du papier journal pour absorber complètement l’humidité contenue dans la plante pendant plusieurs jours.
3/ Émiettez un maximum à la main les feuilles d’ortie uniquement, afin de rendre les particules des feuilles les plus petites et fines possibles. L’utilisation d’un mixeur est optimal pour rendre l’ortie à l’état de poudre et dans ce cas vous pouvez aussi mixer les branches.
4/ Choisissez un contenant hermétiquement fermé, mettez les copeaux de feuilles ou la poudre d’ortie et ajoutez de l’eau de pluie de préférence.
5/ Remuez énergiquement le mélange. Des bulles vont apparaître, c’est tout a fait normal, il s’agit d’une réaction chimique. Laisser macérer pendant 3 à 4 semaines en remuant de temps en temps.
6/ Diluez cette solution et utilisez soit comme engrais, soit contre les nuisibles et parasites.
Comme engrais : diluez cette solution en petite quantité avec de l’eau d’arrosage.
Pour vous donner une idée de proportion, je mets l’équivalent de 15 cl de purin ou 6l d’eau. Mais tout dépend aussi de la quantité d’ortie séchée mise à macérer au départ. Cela a forcément une incidence sur la concentration du purin.
Je vous recommande donc à faire des tests ; cela évitera les mauvaises surprises. C’est un engrais extrêmement efficace mais tout aussi dangereux car très puissant. En effet, l’ortie peut anéantir votre plant si le dosage est trop élevé. Testez donc votre solution diluée sur une de vos plantes avant d’arroser et d’engraisser généreusement toutes les autres.
Comme traitement contre les parasites et nuisibles : diluez cette solution en petite quantité avec de l’eau d’arrosage et utilisez par pulvérisation seulement si votre solution est faite à base de poudre et qu’elle ne contient pas de déchets qui obstrueraient le pulvérisateur.
Si votre purin contient quelques particules de feuilles, utilisez cette même solution diluée et badigeonnez les parasites à l’aide un pinceau pour une action très localisée. L’effet est assez rapide, les pucerons et autres parasites vont sécher dans les 2 jours. Renouvelez jusqu’à ce qu’ils soient complètement éradiqués. Vous pouvez utiliser cette solution sur le feuillage et les boutons sans problème.
BON A SAVOIR
Remuez bien le purin avec chaque dilution et utilisation.
Le purin d’ortie dégage une odeur particulièrement forte.
Si vous n’avez pas la possibilité de faire du purin pour une question de temps, de stockage du purin ou pour l’inconvénient et de l’odeur, sachez que vous pouvez utiliser l’ortie séchée émiettée ou même fraîche directement en terre dans vos pots.
Vous pouvez soit disposer l’ortie sèche ou fraîche dans la terre au fond de votre pot lors d’un rempotage. Les racines trouveront les bénéfices de l’ortie lorsqu’elles pousseront.
A défaut, vous pouvez directement mettre l’ortie séchée émiettée à la base du plant en grattant légèrement la terre afin qu’elle se mélange bien avec celle-ci et ne soit pas chassée par le vent.
D’autres purins existent comme le purin de consoude, fougère, ou même d’oignons et s’utilisent à la fois pour fertiliser et comme traitement contre les parasites.
Riche en éléments nutritifs notamment en fer, l’ortie est une plante qui s’utilise également dans notre alimentation principalement sous forme de soupes, tisanes ou infusions.
Ses vertus thérapeutiques ne sont plus à démontrer et on l’utilise pour lutter contre l’anémie, ou encore pour soigner des rhumatismes.
Il n’y a qu’en pratiquant que l’on apprend et que l’on progresse ; alors à vous de jouer. Tentez et à coup sûr, vous ne vous passerez plus de cette solution miracle !
Purin d’ortie
Crédits photos et textes OsezPlanterCaPousse®. Reproductions strictement interdites sous peine de sanctions
Et oui faire pousser un citronnier chez soi c’est possible et ultra simple.
Il suffit d’un peu de patience, et en un mois et demi environ vous aurez vos premières pousses de citronnier. Cela fait rêver, n’est-ce-pas ?
Tentez l’expérience, c’est un jeu d’enfant !
MÉTHODE DE GERMINATION DES PÉPINS
Sélectionnez parmi vos citrons, de préférence bio, le spécimen plus savoureux et juteux. Puis suivez attentivement les 6 étapes décrites ci-dessous.
Citron sélectionné
1/ Prélevez les plus beaux pépins bien dodus et fermes.
2/ Nettoyez-les à l’eau claire légèrement chaude de manière à retirer entièrement la pulpe à l’aide d’une brosse à dent.
3/ Faites-les sécher ensuite à l’air libre même sous les rayons du soleil directs pendant 8 jours. Les pépins doivent être complètement secs et propres comme sur la photo.
Pépin de citron séché prêt à germer
4/ Mettez-les ensuite dans un bol avec de l’eau à température ambiante pendant 48 heures afin que les pépins se ré-humidifient en profondeur et que les molécules d’eau pénètrent bien à l’intérieur pour “réveiller” la graine.
5/ Enrobez les pépins dans du coton humide à l’abri de la lumière dans le noir complet (dans un placard ou tiroir par exemple) pendant 25 jours environ, le temps que les germes apparaissent. A la manière des lentilles que nous avons tous fait à l’école un jour…
Portez une attention particulière à ce que le coton reste bien humide mais pas détremper non plus, sinon des moisissures pourraient se développer.
Il faudra donc surveiller régulièrement ce qui vous donnera l’occasion de constater que les pépins ont grossi par rapport à l’étape 3. Et c’est bien normal, ils sont pleins d’eau et les germes sont en train de se constituer.
Il faudra aussi ré-humidifier les cotons autant de fois que nécessaire à raison d’une fois par semaine environ.
Soyez vigilant, cette étape d’humidification est primordiale pour la levée des germes. Si vous les oubliez un peu et que les cotons sont tout secs, ré-humidifiez généreusement, ce n’est peut-être pas perdu…
Pépins germés au bout de 25 jours
6/ Plantez ensuite délicatement les pépins germés dans un pot de petite taille (4-5 cm de diamètre), et ce dès que les germes mesurent environ 1cm en dirigeant les germes vers le bas. Le cas échéant, ce n’est pas très grave, la gravité fera le reste et dirigera le germe dans le bon sens.
Recouvrez d’une fois à une fois et demi son volume d’une terre très légère qui aidera au bon développement des racines.
Arrosez généreusement sans pour autant détremper la terre puis exposez au soleil. Les premières pousses lèvent en 10 à 15 jours seulement.
Attention, si vous cassez les germes, c’est foutu ce n’est pas la peine d’aller plus loin. Jetez et recommencez 🙂
Premières pousses de citronniers
5 jours plus tard les premières tiges et feuilles apparaissent.
5 jours encore plus tard, la croissance des tiges et des feuilles est notable.
Jeunes pousses de citronniers
Restera ensuite à greffer votre plant, ce qui fera l’objet d’un futur article, le temps que vous tentiez l’expérience et que le plant grandisse un peu.
J’ai eu 100% de réussite sur la germination des pépins et la levée des jeunes pousses. Je vous l’avais dit, un jeu d’enfants, alors à vous de jouer 🙂 !
Vous ne disposez plus assez de place au sol pour vos plantes d’intérieur, pensez aux suspensions !
Découvrez comment réaliser une suspension DIY en macramé pour mettre en valeur vos plantes avec les astuces d’OsezPlanterCaPousse.
Très simple à réaliser, laissez-vous tenter, vous adorerez le résultat !
Matériels nécessaires :
– 8 cordes en coton d’environ 1 mètre de long chacune. Soyez vigilants à la résistance de la corde. Si elle résiste à 1kg, la résistance totale est donc de 1kg x 8 cordes, soit 8kg.
– une paire de ciseau pour sectionner les cordes
– une plante plutôt à port retombant
A vous de jouer ! Nouez, accrochez et profitez !
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Crédit vidéo : OsezPlanterCaPousse
Crédit musique : Sleepness Night
Légère, aérienne, et douce comme une plume ! Tout est dans la finesse et la délicatesse avec cette plante l’Asparagus setaceus ‘Plumosus’, la dernière partie de son nom l’illustre d’ailleurs à merveille !
Asparagus plumosus
A la structure graphique et au feuillage d’une extrême légèreté et d’un charme fou de coloris vert tendre, l’Aspagarus, ou plus communément appelée asperge d’ornement ou asperge des fleuristes, ressemble bel et bien à une fougère mais n’en est pas une en réalité.
Asparagus plumosus
Chic et décorative, cette plante s’accorde parfaitement en composition florale.
La douceur et le raffinement est au rendez-vous immédiatement. Qu’elle soit sobrement en solo ou en composition, l’harmonie opère, l’élégance et la grâce s’installe.
Originaire d’Afrique du Sud, cette plante vivace est cultivée généralement en intérieur car elle est plutôt frileuse. Elle aime les espaces lumineux et un sol acide riche en humus, régulièrement frais en période de croissance c’est à dire du printemps à l’automne (2 à 3 fois par semaine) et un peu moins frais l’hiver (1 fois par semaine).
Asparagus plumosus
DIVISION – BOUTURAGE
Outre le semis, le bouturage de la plante se fait plutôt par division au printemps. Les jeunes poussent sont relativement lentes à démarrer alors sachez faire preuve de patiente….
LES PETITS PLUS DE L’ASPARAGUS
Sa croissance est rapide et le plant peut en quelques années atteindre jusqu’à 1 mètre de haut en culture en pot. Dans son climat naturel chaud et humide, en pleine terre il peut avoisiner les 15 mètres de haut.
ENGRAIS
Pour favoriser sa croissance, vous pouvez faire votre engrais maison décrit ici. Une fois tous les 15 jours en période de croissance de Mars à Octobre suffit. Stoppez les engrais l’hiver.
Que faire si ?
Si le feuillage jaunit, placez-le dans un espace plus lumineux.
Si il est desséché et mal en point, baignez-le pot et laissez-la terre s’imbiber jusqu’à disparition complète des bulles d’air, puis égouttez le surplus et placez-le dans un espace frais environ 15°C.
Son ennemi parasitaire est essentiellement l’araignée rouge, favorisez l’humidité dès les premiers symptômes.
L’été vous pouvez la placer en extérieur dans un espace ombragé, ceci améliorera la coloration de son feuillage. Veuillez toutefois à la protéger des courants d’air.
Asparagus plumosus
Bon à savoir
Nettoyez le feuillage pour retirer la poussière par vaporisation.
Rempotage annuel conseillé.
Favorisez les petits pots, l’Asparagus aime avoir les racines serrées (un pot 8 à 10 cm de diamètre est idéal).
Plante légèrement toxique : attention aux jeunes enfants et aux chats qui pourraient s’amuser avec les plumeaux.
Taillez régulièrement toute l’année pour maintenir un port touffu.
Remerciements aux Serres du lycée horticole de Lyon-Dardilly-Ecully Crédits photos OsezPlanterCaPousse®
Le Tradescantia fluminensis quadricolor est une magnifique plante d’intérieure à suspension dense, colorée et prolifère à la fois ! Bref, elle a de quoi plaire à beaucoup de monde !
UN PEU D’HISTOIRE
Originaire d’Amérique du Nord et du Sud, il existe environ une soixantaine de variétés différentes pour la plus part retombantes de cette plante gélive. Également appelée avec ironie “misère” en référence à l’histoire d’un Juif errant, elle fut découverte par John Tradescant, jardinier à la cour royale d’Angleterre du roi Charles 1er. Arrivée en Europe dans les années 1660, elle s’imposa rapidement comme plante d’intérieure bien connue.
UN LOOK FASHION
De mon point de vue, je trouve qu’elle est ultra lookée ! Ses tiges tantôt vertes ou marron, tantôt violettes poussent en zig-zag et son feuillage est juste sublime ! Sa couleur panachée va du blanc au jaune, et du vert au rose et même au violet flashy. Des teintes purement psychédéliques !
Tradescantia fluminensis quadricolor
Et ce n’est pas tous, cette plante a plus d’un tour dans son sac.
Après avoir ravi vos yeux, le Tradescantia surprendra un autre de vos sens : le toucher ! Ses feuilles délicates et voluptueuses ressemblent à de la soie. Un léger duvet très court les recouvre et lui donne cet aspect brillant velouté avec des teintes argentées ou dorées en fonction de l’éclairage.
Une véritable œuvre d’art à part entière à contempler chez soi !
Tradescantia fluminensis quadricolor
BOUTURAGE
Très prolifère, elle se multiplie aussi très facilement. Il vous suffit de prélever des tiges juste sous un nœud et de les placer soit directement dans l’eau ou dans pot avec de la terre bien humide. Les boutures peuvent être réalisées toute l’année à condition de respecter des températures supérieures à 20° et prennent généralement au bout de 15 jours environ.
Tradescantia fluminensis quadricolor
Soin à apporter au Tradescantia zebrina et petits conseils perso :
Préfère une ombre lumineuse et sans soleil direct. Si l’ombre est trop importante, son feuillage sera moins pourpre et moins panaché. Si trop de soleil, les feuilles deviennent jaunes.
Tailler régulièrement les tiges pour maintenir un plant homogène car elle a tendance à se dégarnir et s’allonger sans se ramifier.
Profitez des tiges taillées pour tester le bouturage.
Floraison au printemps et en été de petites fleurs roses ou blanches très discrètes et éphémères (1 journée).
Idéal pour les débutants : culture facile, peu exigeante, ne craint pas le manque d’eau
Vous pensez ne jamais pouvoir vous débarrasser des pyrales de buis tellement elles sont nombreuses ! Entre les chenilles elles-mêmes et leurs œufs pondus à l’intérieur des feuilles, vous n’en voyez plus le bout !
Sachez qu’il existe des alternatives non chimiques que vous pouvez faire vous-même, pour lutter contre ce nuisible capable d’anéantir votre plant tout entier. A la fois naturel, écologique et économique, découvrez la solution DIY choc et efficace : la poudre piment de Cayenne !!!
Mélangez une cuillère à café de poudre piment de Cayenne, avec une grande cuillère d’huile végétale, et une grande cuillère de savon noir. Mélangez jusqu’à obtention d’une solution homogène puis diluez cette solution dans 75cl d’eau.
Votre préparation insecticide naturelle est prête ! Vaporisez le soir sur les chenilles et les feuilles du buis jusqu’à disparition complète des nuisibles. C’est une action très localisée.
Soyez vigilants, même si vous ne voyez plus de chenilles, leurs œufs sont encore présents dans votre plant. Continuez le traitement jusqu’à ce que de nouvelles feuilles saines se forment.
L’huile et le savon noir vont permettre à la poudre de piment de se fixer à la fois sur les chenilles et sur les feuilles.
Voici un traitement naturel, simple et efficace à la portée de tous !
Pyrale du buisPyrale du buisPyrale du buisPyrale du buis
Avec leurs propriétés dé-polluantes, assainissantes, et même neutralisantes d’ondes électromagnétiques, les plantes au bureau ont le vent en poupe depuis plusieurs années. Leurs vertus vous aideraient même à la concentration et à la motivation et diminueraient la fatigue. Alors savez-vous lesquelles choisir ?
Un peu de verdure au bureau n’a jamais fait de mal. Bien au contraire ! Depuis plusieurs années, la Nasa étudie avec beaucoup d’intérêt leurs vertus dé-polluantes des plantes grâce à leurs capacités d’absorption de produits chimiques et ce n’est pas pour rien ! Elles ont belles et biens de réels pouvoirs magiques.
Les principaux polluants que l’on retrouve dans nos intérieurs sont malheureusement partout et peuvent être très nocifs pour les personnes dites sensibles ou allergiques.
Ainsi, on retrouve en première place l’ammoniac (produits ménagers et de bricolage), les émissions de benzène (encres, peintures, plastiques, détergents, fumées de cigarette, produits de bricolage, meubles), le formaldéhyde (émanation des panneaux de bois aggloméré, colles de moquette, laine de roche, de verre, textiles d’ameublement, papiers peints), le monoxyde de carbone (chauffe-eau en passant par la combustion du gaz jusqu’aux cigarettes), le toluène (vernis, colles, moquettes, tapis, des traitements du bois, savons et des laques), le xylène et trichloréthylène (colles, vernis, peintures et dégraissants).
Je vous propose donc une sélection de 12 plantes qui luttent efficacement contre ces polluants et qui nécessitent peu d’entretien. Cela vous aidera dans votre choix :
La fougère de Boston : elle absorbe chaque jour une grande quantité de xylène et de formaldéhyde. De préférence à l’abri des courants d’air, elle s’adapte très bien au espace relativement peu lumineux.
Les aloes : parmi les 300 espèces d’Aloe, les plus connus sont l’Aloe Vera, l’Aloe Tiki Zilla, ou encore l’Aloe Tiki Tahi… Plantes grasses utilisées depuis la nuit des temps par Aristote, Hippocrate ou même Cléopâtre, les Aloe sont très performantes contre les ondes électromagnétiques des ordinateurs et autres téléphones portables mais aussi contre les acariens.
Le lierre : Il absorbe de nombreux polluants, et élimine presque totalement le benzène en 24 h.
L’anthurium : d’après la Nasa, l’anthurium se classe en deuxième position pour la dépollution de l’ammoniac.
Le chlorophytum comosum, tout est dépolluant dans cette plante : la partie aérienne, racine et tubercule, c’est vous dire… Le chlorophytum absorbe de nombreux polluants dont le formaldéhyde et la quasi totalité de monoxyde de carbone en 24 h.
Le pothos : il s’attaque à de nombreux de polluants et son action serait augmentée par la légèreté de son substrat.
Le caoutchouc ou Ficus Elastica : Le caoutchouc est surtout efficace pour absorber le formaldéhyde. Prévoyez de l’espace, sans soleil direct, pour cette plante à grand développement type hall d’entrée ou salle de réunion par exemple.
L’azalée : elle a une grande capacité à absorber l’ammoniac et se cultive très bien en bonsaï.
Le dragonnier : Il absorbe surtout le benzène, le xylène et le trichloréthylène et se plaît très bien dans des pièces peu lumineuses voire sombres.
Le philidendron : C’est une des variétés les plus efficaces en matière de dépollution. Cette plante élimine formaldéhyde et trichloréthylène. Peu exigeante, elle tolère les pièces sombres mais pas de soleil direct.
Le palmier pheonix : Même jeune et de petite taille, ce palmier impressionne par sa capacité à éliminer le formaldéhyde et le xylène. Placez-le de préférence dans une pièce lumineuse, même au soleil direct.
Le figuier à feuilles de sabre ou ficus ahlii : Très efficace particulièrement contre le formaldéhyde. Il se plaît à l’ombre légère et à la lumière vive, mais souffre des rayons du soleil direct.
Enfin, si vous manquez de place, pensez aux suspensions ou à la culture en terrarium, c’est idéal pour les espaces restreints. Pour plus d’infos sur les terrariums, reportez-vous à un précédent article et cliquez ici.
Vous vous demandez si le hérisson est utile à votre jardin. Et bien la réponse est oui, oui et encore oui !!!!
Totalement inoffensif pour l’homme, ce petit animal sauvage est un mammifère prédateur protégé par la loi car il joue un rôle primordial dans la biodiversité et finalement peu de gens le savent.
Insectivore, il va vous débarrasser efficacement des larves, limaces, escargots qui pourraient abimer vos cultures mais aussi se nourrir d’insectes types criquets, hannetons, mille-pattes, perce-oreilles etc…
Animal nocturne, il ne sort que la nuit et passe la plus part de la journée à dormir. C’est vous dire à quel point il est discret et ne vous dérangera pas !
Offrez-lui juste un peu d’eau pour s’hydrater. Pour le reste il se débrouillera tout seul. Les feuilles mortes et les branchages de votre paillage par exemple lui permettront de nicher pour la saison estivale et faire son terrier bien douillet pour hiberner de novembre à avril. Côté nourriture, il fera le ménage et trouvera de quoi s’alimenter.
Alors, si vous avez la chance d’en avoir un dans votre jardin, cela déjà prouve que votre jardin est sain et sans pesticides. Laissez-le paisible car il reste un animal très craintif et tellement utile. Évitez de le toucher, n’oubliez pas que sa seule défense est de se mettre en boule lorsqu’il sent le danger.
J’ai eu la chance cette année de découvrir qu’un hérisson nichait dans les haies de mon jardin (que j’ai beaucoup paillé, et je crois que cela explique son arrivée) et suis très heureuse d’avoir ce compagnon qui m’aide à sa manière très efficace à avoir un beau jardin.
Voici celui de mon jardin. La photo est prise de nuit évidemment lorsqu’il sort et de dos malheureusement 😉 mais j’ai pu le photographier ….
Vous en avez assez des formes standards de vos plantes et, vous aimeriez leur créer un vrai look design ?
Toutes les plantes n’ont pas, par essence, un style qui sort du commun. Alors, n’hésitez pas à le faire vous-même ! C’est extrêmement simple.
Sachez que vous pouvez tuteurer à peu près n’importe quelles plantes pour vous créer un plant atypique, singulier et original.
Pour cela, il faut :
un câble avec un fil de fer et une gaine plastique. Cette graine permettra de protéger les tiges de votre plant,
enrouler le câble en partant du haut de la tige jusqu’en bas de celle-ci,
accrocher le câble sur la partie basse de la plante ou même enfoncez-le dans la terre du plant (voir photos).
conserver de l’excédent de câble pour la croissance de la plante.
Portez une attention particulière sur la délicatesse de la manipulation du tuteurage qui peut en effet casser quelques feuilles.
Vous pouvez également vous reportez à la vidéo mise en ligne dernièrement qui explique comment tuteurer un bonsaï Ficus Ginseng, en cliquant ici.
Enfin, il faudra retirer en temps opportun le câble tuteur avant que celui-ci ne marque la tige irrémédiablement. Cette action est à faire dès que la branche tuteurée est capable de se tenir seule, sans l’aide de celui-ci.
Le reportage photo présente ci-dessous deux boutures de lauriers rose réalisées respectivement il y a 4 et 1 an.
Elles ont été ensuite travaillées avec des tuteurs pour leur créer un look original. L’une avec un tronc tressé, l’autre avec une séparation franche entre les deux tiges à la base du plant en vue de réaliser un troncrectangle (à venir).
Alors n’hésitez plus, maintenant que vous êtes en possession de toutes les astuces nécessaires, créez-vous des plantes ultra- lookées ; le tout en DIYDoItYourself s’il vous plaît.
Vous en avez assez de vous faire importuner avec les moustiques et les mouches ?
Marre de vous faire dévorer vos jolies jambes bronzées tout l’été ?
Ou encore lassés de devoir disposer dans votre intérieur cosy d’horribles rubans anti-mouches ou encore d’utiliser des produits chimiques destinés à repousser sans grand succès les moustiques….
Je vous dévoile ici les 6 plantes les plus répulsives qui éloigneront tous ces nuisibles ! Parmi elles, on retrouve des plantes fleuries et des plantes vertes. Alors vous n’avez plus qu’à faire votre choix !
Parmi les plantes fleuries, la lavande et les capucines tiennent la première place. Toutes les deux très odorantes, elles sauront vous ravir tout aussi bien par leurs couleurs flamboyantes que par leurs odeurs et leurs pouvoirs répulsifs.
Parmi les plantes vertes, toutes ont une forte odeur évidemment, destinée à repousser les insectes. Également toutes comestibles, vous pourrez donc à la fois vous régalez de leurs saveurs dans vos petits plats et à la fois vous protéger efficacement des mouches et moustiques.
Parmi elles, certaines sont vivaces c’est-à-dire que l’on garde d’années en années, telles que le romarin, la menthe ou encore le Lemongrass appelé aussi citronnelle.
Le basilic, quant à lui, est aussi très efficace mais est une plante annuelle qu’il faudra remplacer chaque année.
Désormais, vous savez profiter de vos longues soirées estivales en tout quiétude !
Comment se débarrasser de ces insectes qui affaiblissent nos plantes ?
Comment les éradiquer DÉFINITIVEMENT de vos jardins ?
C’est LA question des amateurs de plantes et de jardins qui revient chaque été. Se nourrissant de la sève et entraînant une déformation des feuilles, ses nuisibles requièrent bien malgré nous toute notre attention !
Bannissez ABSOLUMENT les insecticides et autres produits chimiques : outre favoriser un déséquilibre micro-organique de la terre, ils sont de moins en moins efficaces et les pucerons de plus en plus résistants !
Des solutions naturelles existent et fonctionnement même mieux !
Mais encore faut-il les connaître et savoir les reconnaître ?
Et oui comme tout insectes, il a un prédateur naturel : LES COCCINELLES.
Extrêmement voraces, ces dévoreuses de pucerons en consomment jusqu’à 100 par jour. De quoi nettoyer entièrement vos plantes efficacement !
Alors sachez reconnaître leurs œufs et laissez bien dans votre jardin ! Encore faut-il en avoir dans son jardin, me direz-vous ?
Alors, comment attirer les coccinelles dans votre jardin ?
Pour les attirer, il faut :
Supprimer l’utilisation des pesticides (elles n’aiment pas cela). Votre terre ne s’en portera que mieux : elle sera de meilleure qualité et plus fertile.
Les attirer avec leurs plantes favorites : la capucine et la fève.
Désormais, plus d’excuses, vous savez comment faire !
Le bonsaï faux poivrier du Japon est une plante vivace tropicale originaire de Madagascar.
Elle aime donc la chaleur et le soleil et comme tout bonsaï, son arrosage est “délicat “. Je m’explique. Son pot et ses racines étant tellement réduits au strict minimum que le moindre coup de stress : coup de chaud, de froid, grêle… fait des dommages irrémédiables sur le feuillage et sur le plan de manière générale, compte tenu de la petitesse des arbres bonsaï.
Heureusement sa croissance est rapide ! Très décoratif, il développe un feuillage brillant, d’un vert foncé avec un port touffu, robuste, et persistant. Quand on frotte son feuillage, il dégage un parfumépicé, poivre et citron pour le mien. Un régal !
Ses troncs sont faciles à tordre et à tuteurer pour créer une plante au design original. Je vous conseille de prendre du câble électrique pour tuteurer et tordre les troncs : en effet, ce câble, à moindre coût, contient une gaine plastique, qui n’endommage pas les troncs de votre bonsaï. Le faux poivrier du Japon produit des petits fruits rouges de la taille d’une tête d’épingle utilisés en condiments au Japon dit-on. Pour autant, il n’assaisonnera pas vos plats non plus.
Il s’expose à votre convenance en plein soleil, mi-ombragé ou à même l’ombre mais dans un endroit très lumineux.
Pour l’arrosage, si il est en plein soleil et que les températures dépassent les 20°C je vous conseille de baigner la plante 12h dans l’eau tous les 3 jours. Vider le surplus d’écoulement avant de le replacer sur sa soucoupe. Si son exposition est mi ombragée, procéder de même 1 fois tous les 7 à 10 jours. Si c’est ombragé, 1 fois tous les 15 jours suffit.
Certains puristes n’affectionnent pas cette méthode d’arrosage et préfèrent pratiquer une pulvérisation sur le feuillage et la terre. Je trouve que cette méthode est adéquate uniquement pour les avertis !
Aussi, il passera l’été dehors et l’hiver au première gelée il faudra soit le rentrer dans votre intérieur (bien à la lumière). L’arrosage préconisé est tous les 7 à 10jours. Soit vous le remisez dans une pièce lumineuse, fraîche et hors gel pour une période de repos tout en surveillant l’arrosage. Son substrat devra sécher avec chaque nouvel arrosage. Ses feuilles peuvent tomber pendant cette période. Au printemps ressortez le dehors. Il repartira avec les beaux jours !
Ici, vous allez apprendre à observer et comprendre vos plantes POUR AVOIR DE BELLES PLANTES.
Avant tout, il me semble primordial de “réviser les basiques”. De manière générale, quelque soit les plantes, elle ont toutes les mêmes besoins mais pas dans les mêmes proportions. Ainsi, elles ont toutes besoin de lumière, d’eau et de terre. Les racines puisent l’eau et les minéraux contenus dans la terre et grâce à la lumière, la plante va faire de la photosynthèse, développer de nouvelles feuilles et ainsi grandir.
La première chose à savoir sur une plante est donc sa provenance. Elle vous permettra de comprendre quel est son climat d’origine et vous en dira long sur ses besoins : a-t-elle besoin de chaleur, d’humidité, de soleil, d’ombre ? Craint-elle la sécheresse, le vent ou encore les gelées ?
Cette première question élucidée, vous serez à même de lui reproduire les conditionsclimatiques dans lesquelles elle s’épanouira le plus.
La seconde chose importante à comprendre est le substrat ou le type de terre qui lui convient. Votre plante a-t-elle besoin d’un substrat drainant et léger ou plutôt lourd et gras ? Riche ou pauvre en minéraux ? Autant de questions auxquelles il va falloir répondre.
Pour cela, je vous propose deux astuces. La première est de se référer à sa provenance. En effet, on peut supposer qu’une plante montagnarde affectionnera l’humidité soit un substrat retenant un minimum l’eau donc plutôt mixte ou gras. A contrario, une plante tropicale va aimer elle aussi l’humidité mais vu qu’il pleut plusieurs fois par jours sous ces climats, son substrat sèche forcément en cours de journée (sinon ses racines seraient inondées à longueur de temps et ce serait une plante aquatique plus une tropicale) donc son substrat est plutôt drainant et léger.
2ème astuce, vous pouvez tout simplement observer le substrat du plant que vous avez acheté. Si l’eau d’arrosage s’évacue rapidement 10sec environ, c’est un substrat dit drainant et léger. Si elle s’évacue lentement env. 1min c’est un substrat dit lourd et gras. Si vous ne savez pas trop, c’est que le substrat est mixte c’est à dire entre les deux.
De manière générale, les plantes tropicales, méditerranéennes, plantes grasse, cactées…ont un substrat léger, les plantes montagnardes un substrat lourd et les plantes continentales un substrat plutôt mixte.
Maintenant que vous savez d’où viennent vos plantes, passons à la phase observation. Cette phase est primordiale mais savez-vous vraiment comment faire ?
Commencer par la regarder de loin pour avoir une vision générale et observer son feuillage. A-t-il une belle coloration ? Son feuillage brille-t-il ? Se-tient-elle bien droite, fière, avec les pétales/feuilles bien ouverts pour prendre un maximum de luminosité et faire de la photosynthèse à fond ? Dans ce cas elle est en bonne santé.
Ou son feuillage paraît-il terne ? Est-elle plutôt retombante, “fatiguée” avec des feuilles refermées sur elle-même comme pour se protéger des rayons du soleil, de la chaleur, de la sécheresse ou encore d’un parasite ? Vous l’aurez compris, c’est le look d’une plante qui lutte. Reste à déterminer contre quoi : manque de lumière, coup de chaleur, de soleil, excès d’eau, parasites …
Puis, prenez le temps de l’observer dans le détail en commençant par la terre et en remontant petit à petit tout en haut. Vous découvrirez certainement pleins de choses intéressantes. De nouvellespousses ou tiges à fleur en formation, des rejets pour vos futures boutures, ou moins sympa l’apparition d’un parasite (qui cela dit en passant, vous donnera l’opportunité de traiter de suite avant qu’il envahisse tout le plant!).
Puis prenez également le temps de regarder la terre. Et ajuster votre arrosage.
Outre son nom naturellement, il est aussi d’usage de savoir si c’est une plante annuelle ou vivace. Cela vous permettra de lui prévoir un hivernage ou un remplacement la saison suivante. Pour ce faire, je vous conseille de prélever des graines du plant en cours si c’est possible. La ou les graine(s) se trouvent au cœur de chaque belles fleurs arrivées jusqu’à pleine maturité. Si vous avez un doute et ne savez pas comment récupérer les graines, coupez directement la fleur entière fanée, les graines sont contenues dedans. Conservez- les dans une enveloppe ouverte pendant l’hiver et replanter au printemps !
A force d’observer vos plantes, vous vous sentirez de plus en plus à l’aise et d’un simple coup d’œil vous saurez si tout va bien ou si vous devez agir et surtout quoi faire !
Parfaites pour décorer les jardins ou les balcons, les plantes grasses ou succulentes offrent une variété presque infinie de couleur et de formes et des fleurs encore plus surprenantes.
Pouvant atteindre tout de même une taille importante dans leur milieu naturel, elles restent cependant sous nos latitudes à dimensions “acceptables” pour nos jardins et balcons.
Ces plantes aiment la chaleur et le soleil à condition qu’elles aient été acclimatées petit à petit aux rayons directs du soleil. En effet, même les plantes prennent des coups de soleil! Pour cela, il faut prendre son temps mais cela vaut le coup car elles sauront vous remercier de cette exposition au soleil en formant de magnifiques fleurs.
Dans ce cas, je vous conseille vivement une acclimatation pas à pas :
les 15er jours : exposition directe aux rayons du soleil du matin pendant 2h (10h à 12h) puis l’exposer de manière ombragée le reste de la journée.
les 15 jours suivants : exposition directe au soleil toute la matinée jusqu’à environ 14h puis l’exposer de manière ombragée le reste de la journée.
Les derniers 15 jours : exposition permanente au soleil.
Ces plantes ont la particularité d’être gorgée d’eau. En effet, “succulentes” vient du latin “plein de suc”. Ainsi, elles retiennent l’eau dans leurs feuilles et sont ainsi capables de résister à des périodes de sécheresse importante.
Ceci étant, comme toutes plantes elles nécessitent d’eau pour se développer. Il est donc primordial de bien l’arroser surtout pendant la période estivale.
Je vous conseille de laisser le substrat bien séché avant tout arrosage quelque soit la période. Pour l’arrosage, vous pouvez :
baigner votre plant (c’est à dire le faire tremper dans une soucoupe) afin que la plante “boive” et se réhydrate naturellement comme elle le ferait d’elle même en pleine terre. 2 à 3 fois par mois en été / 1 fois par mois en hiver
arroser avec un jet brumisateur, réhydratez juste le substrat de surface, les racines feront le reste.
arroser avec un verre d’eau, l’équivalent d’un petit verre tous les 8 à 10 jours en été et 1 fois par mois l’hiver.
Dans tous les cas, l’eau ne doit pas stagner plus de 2 jours dans la soucoupe. Si la plante n’a pas tout bu, débarrassez-vous de l’eau stagnante.
Suite à cette méthode de ré-acclimatation au soleil, tout devrait bien se passer. En revanche, si vous constatez un changement important de la couleur du plant ou pire l’apparition de tâches brunâtres, aïe c’est le signe d’un coup de soleil !!!
Pas de panique, en remettant le plant de suite à l’ombre et en l’arrosant copieusement, petit à petit, il reprendra sa couleur d’origine. Quant aux tâches brunâtres, le mal est malheureusement fait et seul le renouvellement du feuillage lui redonnera son aura naturel.
Par ailleurs, il est important de comprendre que ces plantes ont de petites racines et de ce fait, elles ont besoin de pot de petites tailles. Le cas échéant le surplus de terre contenu dans le pot peut favoriser le développement de champignons ou autres parasites.
Quant au substrat, il faut qu’il soit bien drainant et léger. En effet, une terre lourde obstruerait complètement les racines et l’empêcherait de s’hydrater correctement.
Enfin, certaines de ces plantes ont des vertus dépolluantes notamment contre les ondes électromagnétiques comme le Crassula par exemple, d’autres comme l’Aloe vera sont utilisées en cosmétique ou en alimentaire.
Voici quelques exemples de plantes succulentes : Aloe vera, Kalanchoe, Echeveria, Sanseveria, Cactus de Noël, certaines cactées, Agave, Yucca, Crassula, Ficoïde…
Pour finir, sachez que les plantes grasses se bouturent très facilement !! Un tuto sera mis en ligne prochainement sur le site alors restez connectés en vous abonnant au site et sur les réseaux sociaux.