Optez pour une décoration végétale intérieure inédite et un aménagement design et vertical avec les murs végétaux d’intérieur by OsezPlanterCaPousse.
À fixer aux murs en disposition horizontale ou verticale vous libérant de la place au sol ou tout simplement à poser, les murs végétaux sont composés de vraies plantes naturelles et c’est qui fait toute la différence !
Les plantes, Pothos dites plantes lianes, sont d’abord en façade puis avec la croissance poussent le long du casier, s’enracinent de manière naturelle sur le dessus puis les côtés pour enfin venir s’échouer en cascade vers le bas.
Un véritable plaisir d’observer les nouvelles pousses en devenir, une évolution quasi permanente telle une oeuvre d’art vivante à contempler au quotidien !
A arroser une fois par semaine environ sur le dessus ou en façade, les murs ne fuient pas. Le substrat est une mousse végétale naturelle au pouvoir d’absorption et de rétention inégalé. La mousse doit rester fraiche et humide et de couleur marron foncée. Lorsque vous touchez le casier, vous devez clairement sentir l’humidité.
Une fois arrosé le mur Small pèse environ 1,5 à 2 kg, le mur Medium 3 à 4 kg et le mur Large entre 5 à 7kg. Le poids des murs est un bon indicateur pour estimer les besoins en arrosage. En cas de doute, fiez-vous à cela.
En cas d’absence prolongée, de fortes canicules en été, augmentez l’arrosage.
Enfin en cas d’oubli d’arrosage, la mousse se déshydrate et se rétracte. Il faut donc prendre le temps de ré-arroser doucement petit à petit afin qu’elle retrouve ses capacités de rétention.
Focus en vidéo ci-dessous sur leurs croissances, évolutions, arrosages, (activez le son) ainsi que quelques configurations d’installation chez des clients heureux.
3 murs Small pour une entrée végétale Avec la croissance, les végétaux vont se rejoindre et raciner sur les casiers voisinsModèle L en mural et S en centre de table
Magnifique palmier d’intérieur, le Chamaedorea donne le ton de l’ambiance tropicale et jungle !
Son port dressé de palmier nous emmène directement sous les tropiques.
Assainissant et peu exigeant, ce palmier d’intérieur convient parfaitement aux débutants.
QUELLE EXPOSITION POUR LE CHAMAEDOREA ?
Originaires d’Amérique du Sud, le Chamadorea pousse à l’abri de grands arbres dans des fôrets humides.
Il apprécie donc une lumière tamisée à vive sans soleil direct.
QUEL TERREAU POUR LE CHAMAEDOREA ?
Une terre pour plante verte fraîche, légère et bien drainée.
Pour assurer une humidité ambiante, vous pouvez ajoutez une couche de bille d’argile entre le pot et le cache-pot.
Préférez un pot de petite taille, voire plusieurs plants dans un même pot comme présenté car il apprécie d’avoir ses racines à l’étroit.
QUEL ENTRETIEN ?
Finalement très peu.
En période de croissance de Mars à Octobre ajoutez de l’engrais pour plantes vertes ou de l’engrais maison.
Aussi, le rempotage est à faire uniquement quand les racines sortent largement du pot environ tous les 4 ans.
Aucune taille n’est nécessaire, son port reste dressé et touffu. La plante grossit en diamètre et en hauteur.
COMMENT ARROSER VOTRE CHAMAEDOREA ?
Le terreau doit être maintenu entre humide à légèrement sec en surface uniquement.
Arrosez régulièrement en été et espacez en hiver.
L’hiver, une vaporisation du feuillage lui sera bénéfique.
QUE FAIRESI ?
Un excès d’eau sera responsable de feuilles qui pourrissent ; quand un excès de soleil fera apparaitre des taches brunes sur le feuillage.
Enfin, si des araignées rouges ont investi la plante, c’est un manque d’eau.
MES ASTUCES DE CULTURE
Ajoutez un morceau de charbon de bois dans la terre. Assainissant et antifongique naturel, il aide au bon développement bactérien des plantes humides et lutte contre les maladies fongiques.
Bassinez et douchez de temps en temps votre palmier pour l’humidifier en profondeur et retirer les poussières de son feuillage qui réduisent sa capacité à capter la lumière.
Arrosez toujours avec de l’eau température ambiante. Cela évite les chocs thermiques au niveau des racines.
En hiver, les jours sont plus courts, la luminosité est plus faible et la plus part des plantes sont au ralenti voire en dormance pour certaines.
Alors quels sont les bons gestes à avoir et les soins particuliers à faire en hiver pour profiter pleinement des ses plantes d’intérieur et les préparer comme il se doit à une belle reprise au printemps.
1ère astuce : HUMIDIFIER L’AIR / VAPORISER LES PLANTES
Les atmosphères sèches de nos intérieurs chauffés en hiver provoque un manque d’humidité ambiant et l’assèchement de l’extrémité des feuilles dans un premier temps, puis in fine l’assèchement des feuilles entières.
Il est donc important d’humidifier un maximum l’environnement de vos plantes par vaporisation quotidienne à l’eau tiède, et par regroupement de celles-ci. Les unes contre les autres les plantes sont plus fortes et se créer alors un “micro-climat” plus humide et favorable.
2ème astuce : DEPOUSSIERER LES FEUILLES
Enlever la poussière des feuilles est nécessaire pour faciliter l’absorption de la lumière et le phénomène de photosynthèse. L’idéal est une douche à température ambiante pour éviter les chocs thermiques tous les 15 jours pour les spécimens déplaçables sinon un linge humide type micro fibre à passer avec délicatesse sur chaque feuille. Certes plus long, mais tout aussi efficace.
3ème astuce : NE PAS FERTILISER
Comme indiqué l’hiver est une période de repos végétatif qu’il est important de respecter. C’est à cette période précise de l’année que la plante recharge ses batteries et une fertilisation risque de la déséquilibrer. Il faudra patienter jusqu’au printemps pour amender vos plantes en engrais. Personnellement, je recommence à fertiliser certaines plantes à partir de fin mars, début avril selon les températures.
Toujours délicat, les questions sur l’arrosage reviennent très fréquemment. Trop d’eau, pas assez ; bref, le diagnostic est difficile et l’enjeu important.
Je vous réserve une surprise très prochainement au sujet des oyas alors restés connectés… et découvrez dans ces courtes vidéos leur efficacité.
Une Monstera et son système racinaire largement déployé autour de l’oya
5ème astuce : LE PETIT PLUS
Disposez dans votre terre du charbon actif en poudre que l’on trouve dans le commerce ou un simple morceau de charbon de bois de nos barbecues d’été.
Le charbon est un antifongique naturel qui favorise le bon développement bactérien du terreau, qui lutte contres les champignons et maladies fongiques et limite les mauvaises odeurs.
Bref, à mettre sans restriction dans toutes les plantes tropicales qui ont besoin d’une bonne et constante humidité.
Début de racines d’une Alocasai zebrina à proximité de l’oya (mis en terre il y a 15 jrs)
Crédits photos, textes et vidéos : OsezPlanterCaPousse
Vous avez envie d’une jungle urbaine luxuriante, d’élargir votre collection de plantes, mais vous ne pouvez malheureusement pas vous offrir toutes celles dont vous rêvez.
Découvrez dans cet article comment cultiver des plantes vertes, fleuries, plantes aromatiques, arbustes même des arbres fruitiers sans dépenser 1€.
Tout est à portée de main et tout est possible ! Encore faut-il connaître les ficelles pour se constituer rapidement une véritable collection digne de ce nom.
Quelques notions de base sont nécessaires pour savoir où et comment faire et à minima il vous faudra tenter l’expérience !
UN PEU D’OBSERVATION ET DE BIOLOGIE
La nature était présente sur terre bien avant l’arrivée de l’homme et elle ne nous a pas attendu pour se reproduire. Tout être vivant de la faune se reproduit naturellement.
À un âge mature, la plus part des plantes produit au printemps des fleurs qui se transforment en fruits pendant la belle saison après pollinisation.
Lesquels, arrivés à maturité fin d’été, vont tomber au sol, se désagréger naturellement en automne en se séparant de la pulpe pour ne laisser rien d’autre que les futures graines, gage d’une nouvelle vie végétale en devenir.
Ainsi, vous l’aurez compris, les graines se trouvent au cœur de chaque fleur ou fruit arrivés à maturité.
Ces mêmes graines subiront naturellement une période de froid pendant l’hiver nécessaire à leurs germinations.
Voilà comment les choses se passent à l’état sauvage. C’est le cycle naturel de reproduction des végétaux ! Garder bien cela en tête, car il faudra parfois tenter de reproduire ces conditions.
RENTRONS DANS LE VIF DU SUJET
A peu près tout ce que vous croisez sur votre chemin peut potentiellement être bouturer et cultiver.
Profitez d’une balade dans les bois pour faire quelques cueillettes. Muni de votre sécateur, vous avez sous vous yeux à votre disposition toute une multitude de graines et végétaux qui se bouturent ou se cultivent très facilement.
Vous pouvez prélevez plusieurs variétés tels que le lierre, la mousse, des glands de chênes ou de marrons déjà germés ou à faire germer, des herbes aromatiques sauvages telles que la menthe, le romarin, ou encore de la lavande sauvage.
Jeune chêne obtenu à partir d’un gland
Dans votre cuisine, vous avez à disposition les graines des fruits et légumes que vous consommez. Vous pouvez récupérer les graines de tomates, aubergines, courgettes… Pour cela, il vous suffit de bien retirer la pulpe des graines, de les faire sécher à l’air libre quelques jours, et de les soumettre au froid quelques temps (soit au frigo, soit en extérieur de façon naturelle) afin qu’elles puissent germer au printemps suivant.
Vous pouvez procéder de même et conserver aussi les noyaux d’avocat, d’abricot, de pêche et mêmes les pépins de citron par exemple.
J’ai personnellement déjà fait germer des graines de palmiers, des noyaux de pêcher et des pépins de citron. Actuellement, je laisse grandir les arbres fruitiers en attendant de les greffer afin d’obtenir des fruits (futur article sur le greffon à venir).
Pensez bien que toutes les graines, maintenant vous savez où les chercher, et comment les faire germer, peuvent vous fournir une nouvelle plante, voire même des légumes ou des fruits.
APPRENEZ A RÉALISER VOS PROPRES BOUTURES
Le bouturage est une des manières simple de multiplier les végétaux. Cette technique consiste à prélever un bout d’une plante dans le but d’en obtenir une seconde qui aura les mêmes caractéristiques que la plante mère, puisqu’elle ne provient pas d’une reproduction naturellement pollinisée.
Pour optimiser vos chances de réussite, il convient de bouturer au printemps. C’est la période de reprise des végétaux, idéale pour les mises en boutures.
Le principe est le suivant : pour raciner, la bouture prélevée sur le plant mère doit être saine, mature et sans fleur !
Ainsi, la réussite de vos boutures réside donc presque uniquement dans le fait de savoir faire de bons prélèvements.
Les boutures de plantes vertes ou plantes fleuries à prélever sont essentiellement des tiges non fleuries, (j’insiste une bouture de tiges fleurie ne prendra pas) avec du bois ou non selon les variétés. Les boutures racineront soit en eau, soit directement plantées en terre selon les variétés.
Voici quelques exemples de bouture de plante verte :
Le Pothos, le lierre, le tradescantia par exemple sont des plantes qui se bouturent très simplement. Coupez une branche sous un nœud et laisser raciner dans l’eau pendant environ 1 mois. Puis replantez dès que vous avez 5-6 belles racines de 5 -10 cm. Pour plus de détails, consulter l’article sur le Pothos.
Pothos raciné
Un autre exemple de bouture de plante fleurie réalisée à partir d’une feuille avec ce magnifique Bégonia Bertinii :
Feuille de Bégonia racinée
Plante mère
Ou encore avec un Pilea :
Feuille de Pilea racinée
Pour les plantes succulentes, on bouture à partir de tiges mais également à partir de feuilles uniquement.
Déposez des feuilles saines prélevées sur la plante mère sur une terre légère. Placer les boutures dans un environnement lumineux à l’abri des courants d’air, à température ambiante. N’arrosez pas au risque de faire pourrir les feuilles ! En quelques semaines, des racines ou nouvelles feuilles apparaitront sur l’extrémité, là où la feuille a été sectionné.
Feuilles de succulente racinées
Découvrez en image dans ces 2 vidéos comment bouturer des tiges et des feuilles de succulentes.
Découvrez aussi comment bouturer une incontournable plante aromatique, la menthe :
MULTIPLIEZ VOS PLANTES PAR DIVISION
La division de la motte est aussi une solution pour augmenter votre collection.
Découvrez comment diviser un plant dans cette vidéo et comment bouturer une plante grasse directement en terre avec le Sansevieria.
PENSEZ A PRÉLEVER DES SPÉCIMENS CHEZ VOS AMIS
Je ne connais pas un ami sympa qui refuserait que vous partiez avec une petite bouture de la plante qui vous a tapé dans l’œil, en échange de laquelle vous pourriez lui en proposer une de votre propre collection :-).
CONNAISSEZ-VOUS LES AUTRES ALTERNATIVES ?
Échangez pour mieux consommer et troquez vos plantes ou vos boutures entre amis physiques ou virtuels.
Sur Facebook il existe une communauté d’environ 6 000 membres et 2000 followers qui s’appelle “Troque ta plante”. Le principe est simple et gratuit ! Vous échangez soit par envois postaux, soit par remise en main propre des graines, des plantes ou des boutures. Plus de 20 grandes villes françaises ont déjà leur groupe Troque Ta Plante, de quoi vous permettre de constituer votre collection pour 0€ ou le prix d’un timbre. Pour plus d’infos, rendez-vous sur la page Facebook de Troque Ta Plante ou sur leur Instagram.
Enfin, une seconde alternative à moindre coût est possible. Il existe des jardins éphémères organisés en plein centre ville dans toute la France qui proposent un très large choix de plantes à prix tout doux 2€, 5€, 10€. Pour avoir testé, le rapport qualité prix est plus qu’excellent. Pour plus d’infos, rendez-vous sur la page Facebook de Maison Bouture ou sur leur Instagram.
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Crédits photos textes et vidéos : OsezPlanterCaPousse®
Vous ne disposez plus assez de place au sol pour vos plantes d’intérieur, pensez aux suspensions !
Découvrez comment réaliser une suspension DIY en macramé pour mettre en valeur vos plantes avec les astuces d’OsezPlanterCaPousse.
Très simple à réaliser, laissez-vous tenter, vous adorerez le résultat !
Matériels nécessaires :
– 8 cordes en coton d’environ 1 mètre de long chacune. Soyez vigilants à la résistance de la corde. Si elle résiste à 1kg, la résistance totale est donc de 1kg x 8 cordes, soit 8kg.
– une paire de ciseau pour sectionner les cordes
– une plante plutôt à port retombant
A vous de jouer ! Nouez, accrochez et profitez !
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Crédit vidéo : OsezPlanterCaPousse
Crédit musique : Sleepness Night
Comment ne pas craquer pour cette succulente terriblement tendance au doux nom qui invite à l’amour, l’attachement et l’affection ?
Avec ses petites feuilles panachées discrètes disposées en opposition et en forme de cœur de couleur gris-argenté, cette plante au port retombant est le “must have” du moment.
Ceropegia Woodii / Chaine des coeurs
De son vrai nom le Ceropegia Woodii, il existe environ 200 espèces. Cette plante d’intérieur aime la luminosité et peut aussi être mise en extérieur pendant l’été même aux rayons directs du soleil à condition que les températures soient stables et supérieures à 15°C jour et nuit.
Ses longues tiges volubiles et sans ramification peuvent atteindre 2 mètres de long, et se garnissent de petites fleurs roses violacées en forme de lanterne d’une grande délicatesse.
Très facile à cultiver, elle ne craint pas grand chose ni maladies ni parasites.
Son système racinaire est composé de tubercules ce qui constitue pour la plante une vraie réserve, donc si vous oubliez de l’arroser elle saura résister, tant que le tubercule est dodu et ferme, votre plant repartira.
BOUTURAGE
Comme beaucoup de succulente, le bouturage, simple à réaliser, se pratique généralement au printemps ou en été. Deux solutions s’offrent à vous : pour les plus novices, je vous conseille de prélever un tubercule en prenant soin de ne pas abîmer les racines, puis replantez-le directement.
Le cas échéant vous pouvez réaliser un bouturage par les tiges. Coupez proprement quelques tiges juste sous des nœuds. Laissez-les sécher à l’air libre pendant 24 heures dans le but de cicatriser les parties sectionnées pour éviter toute moisissure.
Enroulez les tiges sur elles-mêmes en rond dans votre pot avec du terreau drainant et léger, comme sur la photo. Puis terminez en fixant les tiges à l’aide d’épingles à chignon ou tout autre pince de telle manière que les tiges soient bien en contact avec le substrat. Arrosez très parcimonieusement. Comptez environ 3 semaines pour une prise de racines.
Méthode de bouturage de tiges
ENTRETIEN
Peu exigeante, elle est idéale pour les débutants.
La chaîne des Cœurs demande un arrosage modéré en été ; laissez-la motte sécher complètement entre deux arrosages et maintenez une terre plutôt sèche en hiver. Côté substrat, prévoyez une terre pour succulente légère et drainante. Son feuillage persistant peut tomber l’hiver si la température est inférieure à 15°C.
Plante d’intérieur, elle aime les espaces lumineux et même le soleil direct pendant la belle saison à condition de respecter une période d’acclimatation aux rayons du soleil décrit dans un précédent article consultable en cliquant ici.
Bon à savoir :
Plante peu encombrante, peu exigeante, à petit prix
Plante retombante veut aussi dire grimpante ; vous pouvez donc aussi l’enrouler autour d’un support que vous pouvez confectionner vous même en DIY avec du fil de fer par exemple en créant un support pourquoi pas en forme de cœur ♥♥♥♥
Les chats aiment bien jouer avec les tiges, la sève étant toxique pour nos amis à quatre pattes, trouvez-lui un endroit où ils ne pourront pas l’atteindre
Attention au démêlage des tiges, proche du casse-tête, favorisez un enroulage de celles-ci sur la motte afin de lui redonner un port plus homogène
Plante à rentrer l’hiver dès que les températures sont en deçà de 15°C
Ouvrez votre cœur ♥♥♥, et exprimez votre amour à vos chers et tendres
en offrant cette plante symbolique !
Ceropegia Woodii / Chaine des coeurs Ceropegia Woodii / Chaine des coeurs Ceropegia Woodii / Chaine des coeurs
Ceropegia Woodii / Chaine des coeurs
Ceropegia Woodii / Chaine des coeurs
Remerciements aux Serres du lycée horticole de Lyon-Dardilly-Ecully Crédits photos OsezPlanterCaPousse®
Le Tradescantia fluminensis quadricolor est une magnifique plante d’intérieure à suspension dense, colorée et prolifère à la fois ! Bref, elle a de quoi plaire à beaucoup de monde !
UN PEU D’HISTOIRE
Originaire d’Amérique du Nord et du Sud, il existe environ une soixantaine de variétés différentes pour la plus part retombantes de cette plante gélive. Également appelée avec ironie “misère” en référence à l’histoire d’un Juif errant, elle fut découverte par John Tradescant, jardinier à la cour royale d’Angleterre du roi Charles 1er. Arrivée en Europe dans les années 1660, elle s’imposa rapidement comme plante d’intérieure bien connue.
UN LOOK FASHION
De mon point de vue, je trouve qu’elle est ultra lookée ! Ses tiges tantôt vertes ou marron, tantôt violettes poussent en zig-zag et son feuillage est juste sublime ! Sa couleur panachée va du blanc au jaune, et du vert au rose et même au violet flashy. Des teintes purement psychédéliques !
Tradescantia fluminensis quadricolor
Et ce n’est pas tous, cette plante a plus d’un tour dans son sac.
Après avoir ravi vos yeux, le Tradescantia surprendra un autre de vos sens : le toucher ! Ses feuilles délicates et voluptueuses ressemblent à de la soie. Un léger duvet très court les recouvre et lui donne cet aspect brillant velouté avec des teintes argentées ou dorées en fonction de l’éclairage.
Une véritable œuvre d’art à part entière à contempler chez soi !
Tradescantia fluminensis quadricolor
BOUTURAGE
Très prolifère, elle se multiplie aussi très facilement. Il vous suffit de prélever des tiges juste sous un nœud et de les placer soit directement dans l’eau ou dans pot avec de la terre bien humide. Les boutures peuvent être réalisées toute l’année à condition de respecter des températures supérieures à 20° et prennent généralement au bout de 15 jours environ.
Tradescantia fluminensis quadricolor
Soin à apporter au Tradescantia zebrina et petits conseils perso :
Préfère une ombre lumineuse et sans soleil direct. Si l’ombre est trop importante, son feuillage sera moins pourpre et moins panaché. Si trop de soleil, les feuilles deviennent jaunes.
Tailler régulièrement les tiges pour maintenir un plant homogène car elle a tendance à se dégarnir et s’allonger sans se ramifier.
Profitez des tiges taillées pour tester le bouturage.
Floraison au printemps et en été de petites fleurs roses ou blanches très discrètes et éphémères (1 journée).
Idéal pour les débutants : culture facile, peu exigeante, ne craint pas le manque d’eau